Le CSM se considére au dessus du controle démocratique
Le Conseil de la Magistrature a une curieuse conception de la Démocratie.
le CSM a adopté à l'unanimité un «avis spontané» qu'il a remis à son président, en l'espèce le chef de l'Etat dans lequel il s'insurge qu'une commission de parlementaires puissent s'intérésser au fonctionement de la justice et aux pratiques des juges.
La Séparation des pouvoirs ne signifie pas bien au contraire l'irresponsabilité des uns et des autres. Le Parlement a le pouvoir de censurer l'exécutif par le biais de la motion de censure du gouvernement. Le président de la République posséde le pouvoir de dissolution et le peuple d'arbitrer en donnant par exemple la majorité à l'opposition.
Mais les magistrats entendent s'extraire du controle démocratique.
Rappelons ici qu'au Etats Unis les nominations de juge à la Cour supréme font l'objet d'une audition au Congrés et que les juges sont élus par les citoyens.
Les magistrats doivent légitimement rendre compte de leur activité et le Parlement semble bien-être l'instance indiquée pour celà.
le CSM a adopté à l'unanimité un «avis spontané» qu'il a remis à son président, en l'espèce le chef de l'Etat dans lequel il s'insurge qu'une commission de parlementaires puissent s'intérésser au fonctionement de la justice et aux pratiques des juges.
La Séparation des pouvoirs ne signifie pas bien au contraire l'irresponsabilité des uns et des autres. Le Parlement a le pouvoir de censurer l'exécutif par le biais de la motion de censure du gouvernement. Le président de la République posséde le pouvoir de dissolution et le peuple d'arbitrer en donnant par exemple la majorité à l'opposition.
Mais les magistrats entendent s'extraire du controle démocratique.
Rappelons ici qu'au Etats Unis les nominations de juge à la Cour supréme font l'objet d'une audition au Congrés et que les juges sont élus par les citoyens.
Les magistrats doivent légitimement rendre compte de leur activité et le Parlement semble bien-être l'instance indiquée pour celà.