Mélanchon, toute une technique !
Le sénateur Mélanchon chez Karl Zero, je le connaissais peu, j'ai découvert un démagogue de haute volée ! En fait, je n'ai pu m'empêcher de penser à Georges Bush. Même complicité avec son public, même mauvaise foi avérée, sans complexe aucun. Le clin d'Oeil en coin, Le regard cherchant toujours dans l'assistance un électeur complice, la même façon de botter en touche les questions génantes.
Et cette technique, qu'il partage avec Bush, toujours lui, mais aussi le Pen, consistant à opposer le Peuple ( ici de gauche) aux intellectuels ou Enarques et celà d'une bouche gourmande.
"TU" as appelé à voter Maastricht, celà ne te dérange pas ? Bien au contraire ! Tu n'as pas peur de diviser le parti socialiste ? Tu seras candidat au présidentielle ?
Cette technique politique porte un nom le populisme, plus connu en France dans sa version dite poujadiste. Réputé de droite, le populisme a toujours constitué une des tentations de la gauche. On ne se souvient pas sans doute de la gauche prolétarienne ( la Cause du Peuple), venant au secours de Gérard Nicoud et du Cid Unati, mais l'attitude du parti communiste ces 20 derniéres années illustrent bien les déboires auxquels s'expose la gauche qui s'y complait.
On le sait le Parti communiste n'entendait pas permettre à Francois Mitterrand et à la Gauche Unie de gravir les marches du Pouvoir. Il s'est lancé dans une campagne populiste de grande envergure. J'ai trouvé à cette époque sur le pare brise de ma voiture étrangére, un sticker PCF ou CGT peut-être, "produisons français" et un mot manuscrit me menaçant de détruire prochainement ma voiture à coup de masse ! Cette campagne associait l'idée que les socialistes c'étaient l'Europe libérale et les Gaullistes de bons français certes de Droite mais Nationale !
Des années de campagne anti-européenne plus tard, de slogans bleu blanc rouge assénés en continue, ont fait le bonheur des candidats du FN dans les banlieux populaires.
C'est que l'extréme droite gagne à tout coup sur ce terrain. Emmanuelli ne nous en voudra pas de lui parler d'Histoire puisqu'il y est si attaché, mais il voudra bien considérer que des personnages, comme Déat ou Doriot, que des événements comme le pacte germano soviétique n'auraient pas rencontré un écho populaire sans une bonne préparation populiste de gauche préalable. Et s'il en doute qu'il se penche sur les photos des visites du Maréchal Pétain dans les villes françaises les plus petites. Il y verra des foules à coup sur trés populaire que De Gaulle lui-même eu bien du mal à rassembler..
Georges Bush rappelons le encore une fois a gagné sur Al Gore sur le théme des délocalisations que devait entrainer sa volonté de batir un marché commun avec l'Amérique centrale et son souci d'action écologique. Tous les arguments de Fabius aujourd'hui.
Le populisme de gauche du Non à la constitution est une stratégie suicidaire tout simplement. Et tout d'abord parcequ'il n'existe aucune force de gauche pour ramasser le tapis en cas de victoire du NON. Tandis que la droite extréme ayant appeler à voter Non et la droite ayant appelé au OUI, ont déjà convenu de se retrouver autour du NON à l'adhésion de la Turquie
Quand Fachos, Cocos, Gauchos, Aristos se retrouvent dans un même combat ne l'oublions pas, cela porte un nom: le POPULISME
A propos, pour la voiture: quand les constructeurs français sous le vent de la Concurrence ont mis les bouchées doubles pour redevenir les leaders, j'ai choisi une marque française, mais pas sous les menaces syndicales !
Et cette technique, qu'il partage avec Bush, toujours lui, mais aussi le Pen, consistant à opposer le Peuple ( ici de gauche) aux intellectuels ou Enarques et celà d'une bouche gourmande.
"TU" as appelé à voter Maastricht, celà ne te dérange pas ? Bien au contraire ! Tu n'as pas peur de diviser le parti socialiste ? Tu seras candidat au présidentielle ?
Cette technique politique porte un nom le populisme, plus connu en France dans sa version dite poujadiste. Réputé de droite, le populisme a toujours constitué une des tentations de la gauche. On ne se souvient pas sans doute de la gauche prolétarienne ( la Cause du Peuple), venant au secours de Gérard Nicoud et du Cid Unati, mais l'attitude du parti communiste ces 20 derniéres années illustrent bien les déboires auxquels s'expose la gauche qui s'y complait.
On le sait le Parti communiste n'entendait pas permettre à Francois Mitterrand et à la Gauche Unie de gravir les marches du Pouvoir. Il s'est lancé dans une campagne populiste de grande envergure. J'ai trouvé à cette époque sur le pare brise de ma voiture étrangére, un sticker PCF ou CGT peut-être, "produisons français" et un mot manuscrit me menaçant de détruire prochainement ma voiture à coup de masse ! Cette campagne associait l'idée que les socialistes c'étaient l'Europe libérale et les Gaullistes de bons français certes de Droite mais Nationale !
Des années de campagne anti-européenne plus tard, de slogans bleu blanc rouge assénés en continue, ont fait le bonheur des candidats du FN dans les banlieux populaires.
C'est que l'extréme droite gagne à tout coup sur ce terrain. Emmanuelli ne nous en voudra pas de lui parler d'Histoire puisqu'il y est si attaché, mais il voudra bien considérer que des personnages, comme Déat ou Doriot, que des événements comme le pacte germano soviétique n'auraient pas rencontré un écho populaire sans une bonne préparation populiste de gauche préalable. Et s'il en doute qu'il se penche sur les photos des visites du Maréchal Pétain dans les villes françaises les plus petites. Il y verra des foules à coup sur trés populaire que De Gaulle lui-même eu bien du mal à rassembler..
Georges Bush rappelons le encore une fois a gagné sur Al Gore sur le théme des délocalisations que devait entrainer sa volonté de batir un marché commun avec l'Amérique centrale et son souci d'action écologique. Tous les arguments de Fabius aujourd'hui.
Le populisme de gauche du Non à la constitution est une stratégie suicidaire tout simplement. Et tout d'abord parcequ'il n'existe aucune force de gauche pour ramasser le tapis en cas de victoire du NON. Tandis que la droite extréme ayant appeler à voter Non et la droite ayant appelé au OUI, ont déjà convenu de se retrouver autour du NON à l'adhésion de la Turquie
Quand Fachos, Cocos, Gauchos, Aristos se retrouvent dans un même combat ne l'oublions pas, cela porte un nom: le POPULISME
A propos, pour la voiture: quand les constructeurs français sous le vent de la Concurrence ont mis les bouchées doubles pour redevenir les leaders, j'ai choisi une marque française, mais pas sous les menaces syndicales !