OUI et Non à la licence globale !
Contrairement à la majorité des opposants à la loi DADVSI, je n'oppose pas à celle-ci le concept de Licence globale tel que proposée: obligatoire et sans contre partie.
Je suis pour une licence globale comme alternative aux biens "propriétaires". Une licence globale qui comporte un retour et non un "cadeau" de plus aux majors. Une licence globale gagnant-gagnant, donnant-donnant.
Comme certains députés l'ont soulignés la licence globale à un caractére "socialiste". C'est le cas. Le bien culturel en bénéficiant doit donc avoir été effectivement versé au pot du bien commun.
Soit une licence globale qui viendrait rémunerer les seuls Oeuvres mises sous licence "creative commons" par leurs auteurs. Ainsi le gateau serait à partager entre moins de bénéficiaires.
Ainsi, un auteur pourrait avoir le choix de son mode de diffusion. Par contrat propriétaire ou par contrat de bien commun.
Il est légitime que les biens propriétaires aient recours aux DRM. La loi doit seulement prévoir l'interopérabilité, un standard ouvert qui permette de vérifier que des activités coupables ne sont pas dissimulés et bien sûr le droit à la copie privée.
A tout moment une Oeuvre propriétaire pourrait être versée sous le régime du creative commons et prétendre alors à la rétribution générée par la licence globale.
Des livres, des films, des musiques pourraient ainsi être versés dans l'oeuvre disponible un ou deux ans aprés leur exploitation propriétaire sans attendre les cent ans actuels, tout en assurant aux créateurs une juste rénumération.
Par ailleurs, le double régime est possible. Nombres d'ouvrages publiés par les éditions O'Reilly sont aussi téléchargeables gratuitement.
Je suis pour une licence globale comme alternative aux biens "propriétaires". Une licence globale qui comporte un retour et non un "cadeau" de plus aux majors. Une licence globale gagnant-gagnant, donnant-donnant.
Comme certains députés l'ont soulignés la licence globale à un caractére "socialiste". C'est le cas. Le bien culturel en bénéficiant doit donc avoir été effectivement versé au pot du bien commun.
Soit une licence globale qui viendrait rémunerer les seuls Oeuvres mises sous licence "creative commons" par leurs auteurs. Ainsi le gateau serait à partager entre moins de bénéficiaires.
Ainsi, un auteur pourrait avoir le choix de son mode de diffusion. Par contrat propriétaire ou par contrat de bien commun.
Il est légitime que les biens propriétaires aient recours aux DRM. La loi doit seulement prévoir l'interopérabilité, un standard ouvert qui permette de vérifier que des activités coupables ne sont pas dissimulés et bien sûr le droit à la copie privée.
A tout moment une Oeuvre propriétaire pourrait être versée sous le régime du creative commons et prétendre alors à la rétribution générée par la licence globale.
Des livres, des films, des musiques pourraient ainsi être versés dans l'oeuvre disponible un ou deux ans aprés leur exploitation propriétaire sans attendre les cent ans actuels, tout en assurant aux créateurs une juste rénumération.
Par ailleurs, le double régime est possible. Nombres d'ouvrages publiés par les éditions O'Reilly sont aussi téléchargeables gratuitement.