Le chikungunya sur la côte des lacs landais ?
Cet hiver il a plu. Un peu plus que d'habitude. Au premier jour de chaleur, nous voilà envahis par des myriades de gros moustiques. Qui piquent et repiquent. 10 fois par jour au minimum. Et on se retrouve avec des cloques majuscules sur la peau qui curieusement ne grattent pas trop.
Quel pitié que de devoir se barricader à l'intérieur des maisons au lieu de faire la fête autour d'un Barbecue.
Un touriste sur le point d'acheter un terrain s'affole. Vous avez souvent des moustiques comme celà ?
Que lui répondre ? La vérité ? De plus en plus. Il semble que l'on se refuse à tout traitement chimique ou biologique. Si dans les pyrénnées, on réintroduit l'Ours, ici, on semble vouloir rendre le territoire aux moustiques.
Comme nos surfeurs et saisonniers voyagent beaucoup dans des contrées frappés par la Dengue ou le Chikungunya, nous attendons qu'ils transmettent à nos moustiques locaux le virus.
De Mimizan à Soulac, il ne faudra pas beaucoup de temps pour éradiquer la population.... des humains. Et rendre ainsi à la nature cette belle région des lacs landais et médocains. De quoi réjouir nos écolos.
Quel pitié que de devoir se barricader à l'intérieur des maisons au lieu de faire la fête autour d'un Barbecue.
Un touriste sur le point d'acheter un terrain s'affole. Vous avez souvent des moustiques comme celà ?
Que lui répondre ? La vérité ? De plus en plus. Il semble que l'on se refuse à tout traitement chimique ou biologique. Si dans les pyrénnées, on réintroduit l'Ours, ici, on semble vouloir rendre le territoire aux moustiques.
Comme nos surfeurs et saisonniers voyagent beaucoup dans des contrées frappés par la Dengue ou le Chikungunya, nous attendons qu'ils transmettent à nos moustiques locaux le virus.
De Mimizan à Soulac, il ne faudra pas beaucoup de temps pour éradiquer la population.... des humains. Et rendre ainsi à la nature cette belle région des lacs landais et médocains. De quoi réjouir nos écolos.